Au premier abord, le spectateur, voyage, comprends, s’imagine. Au second, il perçoit et ressens l’esthétisme. Il ne peut y avoir sur l’arc un seul regard. C’est en maîtrisant les techniques de plusieurs matières, de différentes textures, que Jil permet aux spectateurs, plusieurs lectures. Si le lien entre l’œuvre et le spectateur est le regard, ce regard permet ici de toucher, de ressentir plus encore que de voir.
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Waves
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